Les fanfics de la Gillian Community
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 l'expérience (en cours)

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SoKo

SoKo


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MessageSujet: l'expérience (en cours)   l'expérience (en cours) EmptyVen 2 Mai - 20:08

Foret de Saginaw, Michigan

Nancy et Julie marchaient tranquillement dans la foret. Deux adolescentes innocentes qui partaient faire une ballade. Leur sac à dos sur les épaules, elles s'émerveillaient de la taille des arbres. Il était 8 heures et le soleil perçait les feuilles avec difficulté, et la brume recouvrait encore une bonne
partie du sol, ce qui rendait l'excursion encore plus intéressante. Néanmoins, elles pouvaient sentir déjà la chaleur du mois de juillet, même s'il était tôt, le temps était suffisamment clair pour savoir qu'il allait faire chaud aujourd'hui. Leurs tennis s'enfonçaient dans une boue épaisse, et
de la buée s'était déposée sur les lunettes de Julie.
Âgées d'à peine 17 ans, elles parlaient de leur futures années universitaires avec cette pointe d'excitation qui caractérise les futurs étudiants, trop heureux de quitter leurs parents et de goûter à l'indépendance.
Tout à coup Nancy s'arrêta net, et demanda à son amie:
-T'as entendu?
-Non, quoi?
-Ce bruit là...
Elles se trouvaient à proximité d'une grotte d'où s'élevait une voix de femme. Cette voix ne semblait pourtant presque pas humaine, elles eurent l'impression que toute la détresse du monde était concentrée dans ce cris. Elles s'approchèrent de la grotte pour mieux y voir. Mais la caverne était sombre et elles ne voyaient vraiment rien. Elles entendaient toujours comme une sorte de plainte, et c'est en s'approchant qu'elles comprirent que la femme disait « attention les lutins...les lutins...mes lunettes... »
Elles se regardèrent interloquées, ne comprenant rien. Lorsqu'elles virent la femme s'approcher de la sortie, elle portait un jean crasseux et un simple t-shirt qui avait dû être blanc dans une autre vie. Elles pensèrent d'abord que c'était une sans abris qui s'était réfugiée là, elles ne comprenaient pas pourquoi mais qui sait ce qui pouvait se passer dans la tête des gens parfois? Mais ce qui les choquèrent le plus c'était l'expression de cette femme, on aurait dit qu'elle avait vu l'enfer et qu'elle en était revenue, totalement perturbée.
-Restez-là madame, ne vous inquiétez pas on va chercher des secours! S'écria Julie.


Washington
Siège du FBI, trois jours plus tard.

-Bonjour Mulder.
Mulder était assis sur on siège, les pieds installés sur son bureau. Il lisait un rapport et comme à chaque fois qu'il était concentré il n'avait pas entendu sa collègue arriver.
Il leva les yeux vers sa partenaire, lui répondit un vague « salut » et se replongea dans son dossier.
-Tu me fais partager? fit Scully en montrant le rapport de la tête, elle n'aimait pas être à l'écart. Cela faisait 6 ans qu'ils travaillaient ensemble ils étaient plus que de simples collègues l'un pour l'autre, ils étaient meilleurs amis, confidents pour le meilleur mais surtout le pire. Toujours là pour l'autre, une confiance aveugle et sans faille les unissait ce qui faisait d'eux une des meilleure, sinon la meilleure équipe du bureau.
Mulder tendit le rapport à Scully et commença à lui expliquer.
-Voici Jane Doe, âge approximatif 30 ans, elle a été retrouvée par deux lycéennes dans les bois de Saginaw, une ville dans le Michigan. La femme délirait à propos de lutins et de lunettes, elle était en état de choc. Selon le médecin qui l'a examinée, elle devait dans la grotte depuis au moins quatre jours si ce n'est plus. Elle n'a pas dit un mots en trois jours à part « lutins et lunettes ». On l'a mise dans un hôpital psychiatrique jusqu'à ce qu'on trouve son identité et qu'on sache ce qui lui est arrivée.
-Je lis ici qu'elle a de gros troubles du sommeil, son cycle est totalement déréglée. Elle ne supporte pas la lumière, ça encore ce n'est pas étonnant si elle a passé quelques jours sous terre, mais elle a du y passer plus que quatre jours pour ne plus la supporter à ce point. Tu as vu comme ses pupilles sont dilatées sur la photo? Scully continua sa lecture. Grande carence en nourriture, anémie. Mulder on dirait que cette femme a été séquestrée.
-C'est ce que je pense aussi mais le tout est de découvrir qui ou quoi l'a enlevée.
Ça y est, se dit Scully, cela faisait longtemps que le terme « alien » n'était pas sorti de la bouche de Mulder. Elle poussa un soupir d'exaspération, mais comment faisait-il pour en voir partout?
-Mulder, je suis désolée de te contredire, mais elle n'a pas forcément été enlevée par une force extraterrestre mais simplement par un humain. Après tout les psychopathes qui enlèvent des femmes existent bel et bien. Cette affaire est assez horrible je te l'accord mais elle est peut-être tout à fait banale.
-C'est pourquoi, il faut qu'on enquête. Je veux savoir se qui s'est passé à cette femme. J'ai réservé deux vol pour le Michigan pour 10 heure. Allez Scully, si t'es sage je t'emmènerai même faire un tour voir les lacs, en plus il fait bon en ce moment.
Sur ces paroles, il sortit du bureau, attrapant sa veste au passage. Scully resta un moment les yeux dans le vide. À force de chercher des extraterrestres, on finit par en voir partout, cette affaire n'avait rien d'étrange. Quelqu'un en état de choc disait souvent des paroles dénuées de sens, et cette femme présentait beaucoup de symptômes de stress post-traumatiques, néanmoins, c'était leur devoir d'enquêter car personne ne savait ce qui avait amené cette Jane Doe dans cet état.
Sur ces pensées, elle quitta à son tour le bureau.


Mulder gara sa voiture devant l'appartement de Scully. Comme presque à chaque fois qu'ils partaient en mission, il passait la prendre chez elle pour l'emmener à l'aéroport. D'un pas pressé, il arriva devant la porte d'entrée, il frappa trois petits coups et rentra.
Sa collègue était dans sa chambre en train de fermer sa valise. Elle regarda le soleil matinal de Washington, elle espérait gardait ce temps au Michigan. On était au mois de juillet, normalement il devait faire beau. Si leur enquête se terminait assez tôt, elle passerait peut-être voir un lac pas loin de la ville, elle en avait repéré un sur la carte.
Mulder s'impatientait, il essayait de le cacher mais Scully voyait bien qu'il avait hâte d'être sur le terrain. Dès qu'il croyait que les extraterrestres étaient dans le coup, il était prêt à tout, par contre pour ce qui était d'aller à des réunions ou de rédiger des rapports, il n'était pas pressé. Un vrai gamin, se dit la jeune femme, un gamin de quarante ans, mais un gamin quand même. Elle l'aimait son martien, si passionné, si dévoué. Depuis qu'elle travaillait au FBI, elle en avait vu des horreurs faite pourtant par des êtres humains aux apparences normales. Mais depuis qu'elle faisait équipe avec Mulder, elle avait aussi rencontré le meilleur chez un homme. Il était prêt à tout pour elle, vraiment à tout. Il lui avait sauvé la vie tellement de fois, il était là quand ça n'allait pas. Jamais elle ne trouverait meilleur collègue, même meilleur...oula elle s'égarait là. Elle s'interdisait d'avoir de telles pensées, ils étaient justes des collègues, proches certes, mais ils ne devaient pas franchir cette limite qui fait de deux amis, un couple.
-A quoi tu penses Scully?
Elle sourit légèrement. Si tu savais, se dit-elle.
-A l'enquête.


L'avion atterrît vers 12h, Mulder et Scully décidèrent d'aller manger quelque part avant de voir la fameuse inconnue. Mulder, comme à son habitude prit un hamburger et Scully, une salade.
Il soupira, en se demandant pourquoi, elle prenait soin de sa ligne, elle n'en avait vraiment pas besoin. Comment faisait-elle pour se contenter d'une simple salade? Lui qui passait beaucoup de temps à essayer de comprendre la vie en dehors de cette planète, s'il y avait bien une chose qui lui échappait sur Terre, c'était bien les femmes et surtout sa partenaire. Comment pouvait-on être si proche de quelqu'un et avoir autant de difficultés à le cerner en même temps? Il ferma les yeux car s'il commençait à se poser des questions de ce genre, la seule chose qu'il trouverait ce serait un mal de tête.
-Ça ne va pas Mulder?
-Si si...je pensais à l'enquête. Tu dois admettre Scully que cette femme présente beaucoup de symptômes d'enlèvement. Je suis sûr que si on lui faisait une séance d'hypn...
Il ne termina pas sa phrase, que Scully le fusilla du regard.
-Hors de question! Mulder il faut qu'on aille la voir, elle a besoin d'un avis médical, et pas de rentrer en régression et dire n'importe quoi. Tu sais bien ce que je pense de l'hypnose?
-Oh que oui. Bon, on va aller la voir, tu me donneras ton avis, car il est très important pour moi quoi que tu penses, et si tu ne trouves rien on passe à ma méthode. Ça te va?
Elle soupira, il ne démordrait pas de son idée d'hypnose, elle le savait. Mais au moins il avait essayé de trouver un compromis. Elle accepta. Elle se résigna, elle savait que face à lui c'était dur d'avoir le dernier mot. Même s'il faisait des efforts pour elle, ses méthodes et ses raisonnements restaient néanmoins trop peu orthodoxes pour elle.


Hôpital psychiatrique de Saginaw.
14h

La voiture se gara devant le grand bâtiment gris. Un vrai hôpital psychiatrique, morne, gris, barreaux aux fenêtres. Cet immeuble de cinq étages les toisait tel un vautour. Pourtant ils n'étaient pas des patients mais l'impression qu'ils avaient c'était comme si l'immeuble allait les dévorer pour ne jamais les recracher. Cette pensée fit froid dans le dos de Mulder pour qui l' HP n'était pas encore qu'un lointain souvenir. Il se revoyait, chemise d'hôpital sur le dos, hurlant dans les couloirs.
Cet endroit n'avait pas du être refait depuis les années 70. Ça sentait le vieux. Les murs étaient peints dans un espèce de marron indéfinissable et un seul et même tableau était accroché aux murs des chambres, toujours cette même ruelle enneigée, pas de quoi remonter le moral quand on va mal.
Un patient d'environ cinquante ans, portant de grand lunettes sur le nez, petit et rondouillard fondit sur les agents. Il sautait autour d'eux tel le marsupilami.
-Madame! Madame! Vous êtes belle! Beau cheveux! Beau cheveux!
Mulder et Scully essayèrent de s'éloigner de lui mais c'était sans compter sur l'attirance qu'avait le petit homme sur eux, enfin pour Scully surtout. Il n'arrêtait pas de répéter que Scully était belle. Ils étaient tous les deux mal à l'aise et se demandaient quand est-e que le médecin allait débarquer? Une voix se fît entendre.
-Allez, Martin laisse les tranquilles maintenant.
Avant de s'éloigner, Martin baissa les yeux et cria.
-Je lui donnerai bien un bon de bite dans le troufion moi!
Mulder ne put s'empêcher d'exploser de rire, c'était nerveux, c'était la phrase de trop! Scully aurait voulu se cacher, elle était morte de honte, n'osant regarder ni son collègue, ni le médecin qui venait d'arriver.
-Martin, va t-en tout de suite d'ici! Excusez le, mais il est malade, il a des TOC parfois et la seule manière qu'il ait trouvé pour extérioriser son angoisse, c'est d'être grossier. Encore désolée madame.
-C'est pas grave, dit Scully, j'ai eu une formation de médecin, j'en ai pas mal entendu des remarques de ce style.
-Bon je vous amène voir ma patiente, je ne sais pas ce que vous allez en tirer, mais au moins vous allez comprendre la gravité de son état.
Tout en les amenant à la chambre, il leur fit un petit topo sur la femme qu'ils avaient trouvée dans les bois. Lorsque les pompiers étaient arrivés pour la sortir de la grotte, elle s'était mise à hurler et à s'agripper pour ne pas se laisser faire. Ils avaient alors appeler un médecin à la rescousse qui lui fit une piqûre de valium, non sans mal et l'avait emmenée à l'hôpital. Cela faisait trois jours, elle s'était enfermée dans un mutisme total. Elle n'avait pas ouvert la bouche depuis, sauf pour hurler lorsqu'on allumait la lumière. Les seuls mots qu'elle disait parfois étaient « lutins » ou « lunettes ». Personne ne savait pourquoi. Trois jours qu'elle était là et personne ne savait son nom, c'est pourquoi ils avaient demandé de l'aide au FBI, elle faisait peut-être partie des personnes disparues.
Tout en parlant, le médecin était arrivé devant la chambre 307, il prit une clefs et ouvrit la porte. La pièce était plongée dans l'obscurité la plus totale. On distinguait à peine un lit et un bureau. Elle était là. Assise sous son bureau, les genoux repliés contre sa poitrine, le corps secoué de spasmes. Des mèches de cheveux retombés sur ses yeux, ses lèvres était complètement gercées. Elle les mordait la plupart du temps, faisant naître des petites gouttes de sang.
Mulder s'approcha d'elle et s'accroupit pour mieux la voir.
-Bonjour, dit-il doucement, nous sommes là pour vous aider, vous n'avez rien à craindre. Nous voulons savoir qui vous êtes pour mieux comprendre ce qui vous a mis dans cet état.
Elle regardait dans sa direction, mais c'était comme si ses yeux passaient à travers lui. Elle ne le voyait pas. Elle regarda Scully. Celle ci se dit qu'elle n'avait pas réagit face à Mulder mais semblait l'avoir remarqué elle. Scully pensa à garder cette information en tête. Elle essayait tant bien que mal de se rappeler de ses cours de psychiatrie. Cette femme n'avait pas l'air autiste même si aux premiers abords, elle en présentait les symptômes. Le fait qu'elle ait vu Scully prouvait qu'elle n'était pas enfermée totalement dans son monde. À moins qu'elle ne soit autiste asperger? Il y avait tellement de sortes d'autisme. Il faudrait qu'elle révise ce soir! Soit elle était malade de naissance, soit un événement l'avait rendue comme ça. Le seul moyen de le savoir serait de découvrir qui elle était.
La bouche de la patiente s'ouvrit, toujours en scrutant Scully, elle dit d'une voix grave et rocailleuse.
-Les lutins ont volé mes lunettes.
Puis plus rien, elle referma la bouche, et se terra plus au fond de sa cachette. Mulder et Scully comprirent qu'ils n'obtiendraient plus rien aujourd'hui, ils décidèrent de partir, avec encore plus de questions qu'à leur arrivée.
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SoKo

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MessageSujet: Re: l'expérience (en cours)   l'expérience (en cours) EmptyLun 5 Mai - 15:08

-Alors t'es heureuse? T'as un ticket avec l'oncle Fétide!
-Mulder encore une remarque comme celle là et je te tire dessus, d'accord?
Mulder sourit. C'était devenu un jeu entre eux. Se disputer sans aller trop loin, chercher l'autre sans jamais vraiment l'énerver, ne jamais être d'accord avec l'autre mais toujours respecter sa décision. Il rentra dans la voiture et démarra. Une longue après midi les attendait, ils devaient trouver qui était cette femme.
-C'est bizarre, mais j'ai l'impression de l'avoir déjà vue, dit soudainement Scully.
-Qui? La femme des lutins?
-Oui, son visage me dit quelque chose mais je n'arrive pas à la remettre. C'est très frustrant.
-Tu l'as peut-être connue à l'époque où tu chassais le lutin...
-Mulder?
-Hum?
-Tais toi...


Commissariat de Saginaw
15h
Les deux agents entrèrent dans le commissariat afin d'effectuer quelques recherches sur leur fameuse inconnue. Ils cherchèrent d'abord sur le fichier des criminels, des victimes mais ne trouvèrent rien. Prenant leur courage, et leur mal de tête en main, ils finirent par une recherche sur les personnes disparues depuis les six derniers mois. Les dossiers s'empilaient sur le bureau, les visages défilaient sous leurs yeux, la fatigue les guettait.
- Ça y est! S'écria Scully, plus fort qu'elle ne l'aurait cru.
-Alors qui est-ce?
-Je me disais bien que je l'avais déjà vu, je l'avais vu dans un magasine, c'est une scientifique, une géologue pour être plus précise, elle s'appelle Susan Jameson (merci polly!). Elle a disparu il y a dix jours, elle n'est pas mariée et n'a pas de famille. Elle était totalement dévoué à son travail, c'est son chef qui a signalé sa disparition.
-Bien nous allons annoncer la nouvelle à son chef et nous pourrons repartir par le prochain avion.
-Mulder pourquoi es-tu si pressé de partir tout un coup? Ce matin encore tu pensais que les extraterrestres étaient dans le coup, tu as changé d'avis?
-Oui. Je pense qu'elle a du avoir une pression énorme et elle a craqué, cela peut arriver à n'importe qui.
-Pas à elle, j'ai lu qu'elle avait fait énormément d'excursion sous terre, c'est la meilleure dans son domaine. Pourquoi craquerait-elle tout à coup? Il faut aller interroger son patron et lui demander s'il sait quelque chose.
Mulder soupira, d'habitude c'était lui qui voulait toujours approfondir plus les enquêtes, pas Scully. Mais si elle y tenait. Elle savait très bien comment s'y prendre pour le faire pencher de son côté. Il accepta, sans toutefois émettre quelques réticences.


Centre de géologie
15h34

Le chef de Susan Jameson s'appelait Jeffrey Bell. C'était un homme d'une cinquantaine d'année, grand, fort, les cheveux gris coupés en brosse et des lunettes noires à grosse montures. Il ressemblait plus au Dr. Frankestein qu'à un géologue.
-Comprenez-moi, je suis très inquiet pour Mlle. Jameson, c'est l'un de nos meilleurs éléments. C'est dur pour une femme de s'intégrer à ce milieu d'homme. Vous devez connaître ça Mlle?
Scully ne daigna même pas répondre à la question, cet homme lui semblait extrêmement antipathique. Depuis le début de leur entretien, il les regardait de haut, surtout Scully, mais c'était peut-être le fruit de son imagination.
-S'il vous plaît, M. Bell, pouvez-vous nous parler de la dernière excursion de Mlle. Jameson? Lui demanda Mulder, très posément.
-Je ne peux pas vous en parler, désolé. Je peux juste vous dire qu'elle est descendue de son plein gré.
-Pouvez-vous nous dire au moins avec qui elle est descendue? Bell baissa les yeux. Vous avez conscience de son état psychiatrique Monsieur?
Scully commençait à bouillir intérieurement. Cet homme n'avait pas l'air plus touché que ça pour sa collègue.
-Non je suis désolé, je vous l'ai dit je ne peux rien vous dire de plus. Sur ce, excusez-moi mais j'ai du travail.
Il se leva et les deux agents sortirent de son bureau.
-Il nous cache quelque chose, dit Mulder.
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