Les fanfics de la Gillian Community
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 Séquel - Unruhe

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Polly

Polly


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Séquel - Unruhe Empty
MessageSujet: Séquel - Unruhe   Séquel - Unruhe EmptyMar 4 Déc - 20:31

Auteur : Polly
Time Line : Ca reprend au moment où Mulder parvient à sortir Scully ses griffes (ou plutôt du pic à glace) de Schnauze.
Rated : PG
Disclaimer : Of course, rien ne m'appartien, je rends tout à CC pour XF²! lol
Résumé : Scully se remet doucement de ses émotions, chambre d'hôtel, un poil de sang, deux amis, un peu d'alcool... oops! lol


Sequel - Unruhe


Lorsqu’il sortit de la caravane, un jeune agent se tenait à côté de Scully, lui versant une tasse de café à l’aide d’un thermos fumant. Mulder s’approcha d’eux, la bruine caressait son vidage et plaquait ses cheveux à son front. Sous ses yeux, Scully commençait à trembler de froid mais elle gardait les bras croisés contre sa poitrine, trop têtue pour en souffler mot. Son instinct et sa bonne éducation eurent raison de lui. A peine avait-elle bu une gorgée brûlante que déjà elle sentit Mulder glisser son imperméable sur ses épaules. Scully fut trop fatiguée pour le remercier dûment. En silence ils marchèrent jusqu’à l’un des véhicules et Scully s’écroula dans le siège passager avant.

« Est-ce que ça va ? Tu as besoin d’être examinée par un médecin ? »

« Non, ça va aller, j’avais juste besoin de prendre l’air et de voir la lumière du jour. J’étouffais là dedans. » Expliqua-t-elle, se massant les poignets avec insistance.

Comptez sur Scully pour tout mentionner à part les terribles instants auxquels elle venait de survivre. Il l’observa de profil alors qu’elle fermait sa portière et resserrait contre elle le manteau qu’il lui avait offert. En surface, Dana Scully allait parfaitement bien, la situation était sous contrôle, comme toujours… Mulder ne pu s’empêcher de soupirer avec emphase, ce qui n’échappa guère à son amie. Pourtant Scully ignora ouvertement sa réaction et attacha sa ceinture de sécurité quand il mit le contact. Il le manqua pas les tremblements de ses mains.

Les évènements qui suivirent se déroulèrent en quelques heures à peine et ils furent de retour du commissariat à la tombée de la nuit. Mulder accompagna Scully à sa chambre de motel et il profita de sa disparition dans la salle de bain pour s’effondrer sur son lit. Il guetta les sons qui émanaient de la pièce adjacente et devina qu’elle était en train de se préparer un bain. Quand il entendit un flacon en verre se briser sur le sol carrelé, il s’avança vers la porte restée grande ouverte. Avec hésitation, il s’autorisa un regard à l’intérieur et trouva Scully accroupie parterre, occupée à ramasser les éclats de ses doigts nus et bientôt ensanglantés.


« Oh Scully… » Murmura-t-il, ses mains agrippèrent ses poignets avec une force excessive et elle prit peur.

Ce ne fut qu’un réflexe mais elle repoussa son emprise, se retrouvant plaquée contre le mur. Elle sembla si fragile tout à coup, vêtue uniquement du haut de son pyjama, le visage maladivement pâle et le regard fixé sur ses orteils. Mulder ne dit mot et elle finit par le rejoindre d’elle-même dans la chambre, faisant attention de ne pas se couper la plante des pieds.


« Ce n’est rien… » Marmonna-t-elle en s’asseyant sur le bord du lit.

« Ca va aller. » Lui promit Mulder, il s’éclipsa peu de temps pour revenir avec son bas de pyjama resté dans la salle de bain.

Scully s’empressa d’enfiler le vêtement et Mulder l’aida à se mettre sous les draps. De nouveau il l’abandonna un instant mais ce fut pour revenir paré de la trousse de secours appartenant à la jeune femme. Appliqué, il en sortit une petite bouteille transparente qui renfermait un désinfectant, puis découvrit quelques disques de cotons dans un sachet. Mulder eut mal au cœur quand il vit les mains de Scully si abîmées, elle qui en prenait tellement soin à l’habitude. Il fit preuve de toute la douceur qui résidait en lui pour éponger ses doigts. Bientôt, ils retrouvèrent un aspect familier et Mulder réalisa qu’elle s’était endormie. Accroupi à côté du lit, il l’observa à la dérobée, espérant que son sommeil serait réparateur. Un regard dans son dos permit à Mulder d’apercevoir un fauteuil qu’il rapprocha d’un bras. Il délassa ses chaussures puis tenta sa chance avec l’armoire, comptant y dénicher de quoi se réchauffer. D’un sourire, il fit glisser sa main le long de la porte en bois pour la refermer, une épaisse couverture de laine dans les bras. A pas de loup, il rejoignit sa place et s’installa de la manière la plus confortable possible.

Au creux de son lit, Scully dormait recroquevillé sur le côté, les mains repliées sous le menton et les paupières agitées. Mulder se surprit à la contempler en retenant son souffle, il craignait d’émettre le moindre son et par conséquent, de la gêner dans sa quête de repos.

Il était difficile de se faire à l’idée d’une telle vie, eux qui semblaient si ordinaires en apparence et se retrouvaient irrévocablement torturés par les existences qu’ils menaient. Tout deux avaient besoin des mêmes choses que n’importe lequel de leurs semblables : un peu de sérénité et de sécurité.

Ses yeux commencèrent à se clore quand il l’entendit gémir. Il lui fallut un moment pour réaliser qu’il provenait de sa collègue. Ce n’était pas son genre de marmonner de la sorte, ce devait être la première fois qu’il était témoin de ce qu’elle considèrerait comme une « faiblesse ».

Comme il ne souhaitait pas qu’elle retourne sa préoccupation contre lui et l’accuse de profiter de la situation, il caressa son épaule. Il avait juste voulu la réveiller et au lieu de cela, il n’avait de nouveau effrayée. Ses réflexes étaient si rapides qu’avant même d’être totalement consciente, elle lui avait assené un violent coup de poing à la pommette. Pris au dépourvu, Mulder n’avait rien vu venir et se retrouva à genoux, grimaçant de douleur.


« Oh mon Dieu, Mulder ! » S’exclama Scully en se rendant compte de la portée de son geste. « Je suis désolée, attends une seconde. » S’excusa-t-elle, courant à la salle de bain avant de carrément sortir de la pièce.

Lorsque Scully vint à son chevet, Mulder était assis sur le lit, une main couvrait sa joue. La jeune femme l’écarta et se mordit la lèvre en constatant l’étendue des dégâts. Elle ne l’avait pas raté ; l’espace se trouvant sous son œil était rouge et enflait peu à peu. Elle y pressa alors une serviette contenant quelques glaçons.


« Le froid anesthésiera ta joue et l’empêchera de trop enfler. Mulder, je… » Murmura-t-elle des plus gênées.

« Scully, ça ne sert à rien de culpabiliser, je sais bien que tu ne m’aurais jamais frappé si tu avais su que c’était moi. » L’interrompit-il, sachant qu’elle souffrait davantage que lui, tout du moins, émotionnellement parlant.

Sans mot dire, elle s’assit à côté de lui, scrutant ses mains et ses poignets irrités. Le silence se répandit dans la pièce et aucun d’entre eux ne fit l’effort de le rompre. Mulder recommença à avoir de la sensibilité dans la pommette. Il remerciait le ciel que Scully ne porte jamais de bague ou alors il n’aurait plus eu qu’un seul œil pour converser avec elle. Sur la table de chevet, il posa la serviette désormais trempée puis frotta gentiment le dos frigorifié de son amie.


« Aller, Scully, recouche-toi, je crois qu’on s’est fait suffisamment de mal pour la soirée, on ne va pas risquer en plus une pneumonie. » Conseilla-t-il, se levant pour qu’elle puisse se mettre sous les couvertures.

A la voir si vulnérable, il ne pu résister à l’envie de déposer un baiser sur son front. On aurait dit une petite fille, noyée dans son lit, le regard furtif, guettant le monstre qui n’attendait que l’obscurité pour s’emparer d’elle.

Ils ne se souhaitèrent pas bonne nuit, c’était inutile étant donné que ni l’un ni l’autre ne dormirait. Derrière lui, Mulder ferma la porte qui communiquait entre leurs chambres et Scully soupira de soulagement ainsi que de déception. Pour la première fois depuis son enfance, Scully n’éteignit pas la lumière. Non pas qu’elle craignait de se retrouver baignée dans le noir mais plutôt parce qu’elle se relèverait dans quelques minutes.
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Polly

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MessageSujet: Re: Séquel - Unruhe   Séquel - Unruhe EmptyMer 5 Déc - 20:46

Quand l’ennui fut trop insistant et toutes les marques au plafond consciencieusement répertoriées, elle repoussa les couvertures. Ses doigts écorchés la firent souffrir lorsqu’elle les plia pour enfiler sa robe de chambre. Elle marcha pieds nus jusqu’à la commode où se trouvaient ses vêtements et en sortit une paire de chaussettes qu’elle s’empressa de mettre. Elle se doutait que Mulder ne dormait pas encore et tendait sûrement l’oreille, à l’écoute du moindre bruit suspect afin de faire irruption dans son armure de pre-chevalier. Les couleurs vives qui se succédèrent sous la porte indiquaient à la jeune femme qu’il regardait la télévision. Peut-être que son attention était focalisée sur autre chose finalement ?

Une fois dans le couloir, Scully tira simplement la porte sans la fermer entièrement. Sur la pointe des pieds, elle passa devant la chambre de Mulder et rejoignit le distributeur qu’elle avait remarqué à l’extérieur en allant chercher des glaçons. Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle se trouvait là dans le froid, à contempler l’idée d’acheter de l’alcool. Ses bras étaient repliés contre elle, ses doigts jouant avec les pièces qu’elle avait apportées.

De petites bouteilles remplies tour à tour de liquide ambré ou transparent comme de l’eau semblaient la narguer et elle ne résista plus à leur appel. Scully introduisit sa monnaie dans la fente prévue à cet effet, l’entendant résonner quand elle tombait à l’intérieur de la machine. Son choix s’annonçait difficile dans l’ultime, le but étant tracé, elle choisit deux flacons de Jack Daniels.

Au creux de ses paumes, le verre avait l’air encore plus froid que le vent qui lui gelait le visage.


« C’est pour moi ? » Fit une voix dans le dos de Scully.

Evidement, elle ne pu s’empêcher de sursauter mais fut suffisamment consciente pour ne pas laisser tomber le précieux alcool.
Mulder se tenait là, vêtu comme elle de son pyjama et la joue exagérément rouge. Elle sourit à l’idée qu’il ressemblerait à cela si une femme outrée par son comportement l’avait giflé. Elle revint néanmoins à elle et suivit son regard dirigé sur les deux fioles qu’elle avait en main.


« Je ne me rappelle pas e l’avoir proposé. » Répliqua-t-elle, sa voix presque aussi froide que sa peau.

« Mais la Scully que je connais n’en boirait qu’une. Et la Scully que je connais déteste le gaspillage. » Souligna-t-il, intrigué par son attitude désinvolte.

« Et qui te dit que tu as affaire à Scully ici ? » Questionna-t-elle en retournant vers sa chambre.

Si elle pensait mettre un terme à la conversation de cette manière, Mulder comptait lui prouver qu’elle se mettait le doigt dans l’œil jusqu’au coude. Il lui emboîta le pas et appuya son pied contre la porte, orteils dressés vers le haut pour amortir le choc et l’empêcher de la fermer.


« Mulder, s’il te plaît. » S’impatienta Scully, pas une once d’amabilité dans le ton employé.

« Alors c’est juste ça Scully ? Tu préfères noyer tes peurs dans l’alcool plutôt que d’en parler à un ami ? » Demanda-t-il, n’admettant pas qu’il se sentait quelque peu vexé.

« Parce que ça ne te regarde pas Mulder. Parce que tu n’es qu’un collègue et que tu as tes propres démons sans y ajouter les mines. Parce qu’on n’est plus de service à cette heure Mulder alors tu ne me dois rien. » Expliqua-t-elle amèrement, poussant contre la porte avec force et parvenant à glisser le verrou en place avant que Mulder ne réagisse.

Comment pouvait-elle croire qu’il ne se souvient d’elle que parce qu’elle était sa partenaire ? Pensait-elle vraiment qu’il ne considérait l’assurance de son bien-être que comme un devoir, ou pire, une corvée ? Mulder secoua la tête avec incompréhension, au bout de 4 ans, elle avait pu s’en rendre compte tout de même. D’un pas appuyé, il alla à sa chambre et tenta l’option de la porte communicante. Un sourire victorieux se dessina sur son visage quand il découvrit que Scully avait oublié de fermer celle-ci à clé. Il tourna la poignée et se retrouva face à son amie. Assise sur le bord du lit, l’une des bouteilles était déjà vide et à en juger par la pâleur de son expression, elle avait dû la boire d’une seule traite.


« Scully, tu sais ce que tu me dirais dans ces cas-là ? » Fit-il en prenant place à côté d’elle.

« De boire autant que tu veux mais de ne me réveiller sous aucun prétexte. » Rétorqua-t-elle en ouvrant et refermant le bouchon de la seconde fiole.

« Non, tu me dirais que si j’ai envie d’aller encore plus mal en me réveillant, alors ce serait mon choix. Scully, je ne demande qu’à parler et toi aussi. Tu sais très bien que je ne penserais pas moins de toi et que jamais je n’utiliserais quoi que ce soit contre toi pour te blesser ou te rabaisser. La question est donc… »

« Qu’est-ce que tu fais encore ici ? » Supposa-t-elle, sarcastique.

« Non, la question est : qu’attends-tu pour te confier à ton meilleur ami ? » Corrigea-t-il en faisant tout pour ne pas l’irriter.

« Meilleur ami ? Mulder, je n’ai qu’un ami, ce n’est pas difficile pour toi d’être le meilleur… » Le railla-t-elle, mi triste, mi condescendante.

« Je ne pense pas non plus être le pire qu’on puisse trouver… » Se risqua Mulder d’un ton sec, il n’avait aucune envie de s’énerver contre elle.

« Je m’excuse, je ne sais pas ce que j’ai… » Admit Scully, desserrant les doigts autour de la petite bouteille pour la laisser tomber sur le matelas.

Mulder fut soulagé de voir qu’elle revenait à elle, il n’avait pas voulu qu’elle regrette plus tard quelques propos dits sous le poids de la colère. Il prit l’échantillon d’alcool et alla le vider dans les toilettes. Quand il fut de retour, Scully était redevenue elle-même quoi que les joues rouges et les cheveux décoiffés étaient un style qui lui donnait beaucoup de charme.


« J’ai pensé que si je faisais comme tout le monde, ça irait peut-être mieux après. » Se justifia-t-elle sans croiser son regard.

« Comment ça "faire comme tout le monde" ? Tu pensais qu’avoir la gueule de bois te ferait sentir mieux ? C’est vrai que vomir jusqu’à ses tripes et avoir la migraine c’est terriblement agréable… Sans parler de ce goût dans la b… »

« Merci Mulder. Je n’ai pas besoin de davantage de détails » Lui assura-t-elle cependant devant son air moqueur. « Je parlais de prendre un verre ou deux pour me détendre. » Spécifia-t-elle, évitant toujours de le regarder dans les yeux.

« Scully, je sais que pour bien des choses ta taille n’est pas un problème pour toi, mais il faut parfois se rendre à l’évidence. Menue comme tu es et peu habituée à boire, si tu avais avalé cette deuxième bouteille d’une traite, je t’aurais retrouvée raide morte sur la moquette. » La raisonna-t-il avec amusement. « Et connaissant ton goût pour la propreté, ce n’est pas l’abus d’alcool qui aurait été ton coup de grâce mais plutôt le fait de voir cette moquette en gros plan. » Ajouta-t-il en plaisantant ouvertement cette fois.

« Mulder… » Se plaignit Scully, ne souhaitant pas l’entendre développer.

« Est-ce que c’est à cause de Schnauze ? Tu sais que tu peux m’en parler. » Lui dit-il pour la énième fois, le sérieux reprenant le dessus.

« C’est juste que… C’est idiot, ce sont ses yeux. » Murmura-t-elle, haussant les épaules avec culpabilité.

« Ses yeux ? Parce qu’ils remuaient sans cesse ? » Insista-t-il, intrigué.

« Des que je ferme les miens, je les vois. Quand je me regardais dans le miroir tout à l’heure, j’ai cru que mes yeux le faisaient aussi et puis… »

« A chaque fois que tu me vois tu as peur que les miens le fassent également, c’est pour ça que tu ne m’as pas adressé un regard depuis tout à l’heure ? » Demanda-t-il, plaçant sa main sur la joue de la jeune femme pour l’obliger à dresser la tête. « Scully, je ne risque pas de le faire pour la bonne raison que ma joue est si enflée qu’elle a coincé mes yeux au fin fond de mes orbites. » Expliqua-t-il sans rien laisser paraître.

Inquiète, Scully leva immédiatement la tête pour voir ce dont elle était responsable. Lorsqu’elle réalisa qu’il avait menti pour la forcer à le regarder, elle ne su pas si elle devait se sentir en colère ou terriblement soulagée.


« Je t’ai eue. » Constata-t-il avec fierté. « Aller Scully, ça va aller, c’est normal d’avoir des appréhensions après ce que ce malade t’a infligé mais il ne faut pas se laisser ronger. C’est lui qui a perdu, pas toi. » Remarqua-t-il alors qu’elle avait acquiescé mais déjà détourné les yeux. « Est-ce que tu peux me regarder maintenant ? » L’interrogea-t-il, caressant son épaule pour la mettre en confiance.

Il la vit reprendre son souffle et rassembler son courage, constituant ce mur qui la caractérisait tant. A côté de lui, elle leva le tête et finalement ses yeux se posèrent sur lui et instantanément il se relaxèrent à la vue l’un de l’autre. Mulder sourit, déposa un baiser sur son front, s’attardant un peu comme à l’accoutumée et la quitta sur cette petite victoire personelle.

FIN
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